The ice cream Dolce Amore !
Je me réveille plein de toi. Ton portrais et le souvenir de l’enivrante soirée d’hier n’ont point laissé de repos à mes sens.
Douce et incomparable Joséphine, quelle effet bizarre faite vous sur mon coeur ! Vous fâchez-vous ? Vous vois-je triste ?
Êtes-vous inquiète ? Mon âme est brisée de douleur, et il n’est point de repos pour votre ami…
Mais en est-il donc davantage pour moi, lorsque, me livrant au sentiment profond qui me maîtrise, je puise sur vos lèvres, sur votre coeur, une flamme qui me brûle.
Ah ! C’est cette nuit que je me suis bien aperçu que votre portrait n’est pas vous !
Tu pars à midi, je te verrai dans 3 heures.
En attendant, mio dolce amor, reçois un millier de baisé (baisers); mais ne m’en donne pas, car il brûle mon sang.