Grognard
Sergeant Major
- Joined
- Jul 16, 2009
- Messages
- 1,660
Apart from the incident mentioned by Obee the casualty returns for the remainder of the British units are comparatively light except for those engaged in the hand to hand fighting in the village. It would be assumed that had any square been broken, let alone three, the casualties would have been excessive. I am inclined to the belief that Obee's incident has been exagerated and the units were in line. Sarloveze's claim is part of French myth, on a par with the "sunken road" at Waterloo. However I must admit I have not been able to check out the Portuguese units present. Trooper
Actually I did more research on the French sites and found another source: http://ldb.histofig.com/Scenario-4-Fuentes-de-Onoro.html which does mention that Colonel Hill's troops were in square formation when charged by Fournier and his Chasseurs (please see below). I can provide a translation in English if needed.
Pendant ce temps la cavalerie française, gagnant toujours du terrain, arrivait devant les carrés de Crawford, dont les intervalles étaient garnis d’artillerie. Montbrun ordonne alors au général Fournier de faire attaquer le carré de droite par un de ses régiments, de charger en personne, avec ses deux autres régiments, le carré du centre, qui était le plus considérable, tandis que le général Wathier attaquerait le carré de gauche. Lui-même devait suivre en réserve avec ses dragons. Arrivés à portée des Anglais, les escadrons français furent accueillis par un violent feu de mitraille, ce qui n’empêcha pas le carré de droite d’être enfoncé. Le carré du centre subit le même sort : le général Fournier y pénétra, le traversa avec les 7e et 13e régiments de chasseurs, fit demi-tour et acheva de le renverser. Mille cinq cents hommes restèrent prisonniers avec le colonel Hill. Mais la charge du général Wathier échoua contre le carré de gauche, et ses régiments furent ramenés sous une vive fusillade et des décharges à mitraille qui démontèrent le général Fournier et blessèrent ses deux colonels, au moment où Montbrun se disposait à charger ce même carré avec ses dragons. Masséna, sous les yeux duquel cette attaque avait lieu, jugeant que la réserve de Montbrun était insuffisante pour résister à toute la cavalerie anglaise qui s’avançait au soutien de la division Crawford, avait déjà envoyé un officier au général Lepic, en position derrière le 6e corps, avec ordre d’appuyer l’effort de la cavalerie de Montbrun qui devait être décisif. Ne voyant pas venir Lepic, il lui dépêcha un autre officier pour le presser d’accourir avec ses huit cents chevaux de la garde. Dans cet intervalle l’artillerie de Houston, coupée par la brigade Maucune, parvint à se dégager et à rentrer en ligne, par suite du temps d’arrêt de la cavalerie de Montbrun qui s’était repliée en attendant celle de la garde, ce qui facilita la fuite de la majeure partie des mille cinq cents prisonniers anglais épars sur le champ de bataille. Le premier officier envoyé au général Lepic, le capitaine Oudinot, aide de camp de Masséna, arriva enfin et annonça que le général de la cavalerie de la garde ne pouvait agir que sur un ordre du duc d’Istrie et nul ne l’avait vu à l’état-major du général en chef. Cependant Montbrun, resté sans appui sur les bords du Turones, inutilement exposé pendant quatre heures au feu de l’artillerie anglaise, et espérant toujours voir déboucher dans la plaine les divisions Marchand et Mermet, ne put renouveler ses attaques. Dès lors l’armée anglo-portugaise, incertaine dans ses mouvements, eut le temps de se raffermir. Wellington put effectuer un changement de front sur son centre, l’aile droite en arrière, et attaquer Fuentès de Onoro, dont le général Ferrey, soutenu par la division Cla*parède, venait d’enlever la partie haute. Mais, n’étant pas appuyé par tout le 9e corps, tandis que le général anglais pouvait renouveler sans cesse les troupes fatiguées par des troupes fraîches, Ferrey se vit forcé d’abandonner les hauteurs et ne conserva que la partie basse, d’où Wellington ne parvint pas à le repousser.
It is interesting to notice that only French sites mention this exploit whereas English ones seems to be quiet about this one...